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La présence unitive Sophrologie et Atma Yoga

Heartfulness

Patrick Vigneau

 

Les pratiques Heartfulness sont simples et accessibles à tous. On peut les considérer comme des pratiques d’hygiène quotidienne avec tout de même le but de parvenir à Moksha, la Libération. Elles peuvent aussi être vues comme des pratiques destinées à embellir le monde autour de nous.

Elles furent créées par Ram Bishnoï, un homme simple et dévoué à Dieu.
Après le décès des membres de sa famille, Ram Bishnoï décida de partir en pèlerinage à travers l’Inde, « pour mieux comprendre la nature humaine » dira-t-il.
Cela dura trois ans. Il vécut comme un mendiant, séjourna dans des ashrams, rencontra quelques maîtres en sagesse, et fut ému de la misère qu’il vit partout. Puis il revint dans son village et suivit les études pour devenir médecin. Après avoir reçu son diplôme, il choisit de travailler dans des orphelinats avec un prètre catholique.
Mais le docteur n’était pas satisfait de l'éducation des enfants. Certains étaient mis à l’écart, presque oubliés, ou rejetés par les autres. Ram Bishnoï se donnait entièrement pour les aider et les aimer.
Un jour, il eut une intuition géniale. Cela lui vint au cours d’une méditation, dira-t-il, où il écouta intensément ce qu’il percevait en son coeur. Et il inventa divers moyens originaux pour aider les enfants des orphelinats.

Le premier fut de leur confier un petit animal à soigner. Pour leur permettre de retrouver un équilibre affectif, il confia un petit chat à chaque enfant orphelin. Ainsi, l'enfant, tout naturellement, éveillait son attention, le sens des responsabilités, la tendresse et la compassion en nourrissant et câlinant les chatons. L'enfant inconsciemment s'identifiait au petit animal. Les chatons ont naturellement une propension à nous toucher le coeur.

Le deuxième fut de leur apprendre ce qu'il appela "méditation de compassion", pour les aider à retrouver la joie face la vie qu'ils ressentaient souvent comme profondément injuste.

"je connus 2 enfants bishnois, orphelins, qui me transmirent leurs pratiques" (Patrick Vigneau)


 

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